Empoisonnée par ses propres implants mammaires elle lance une mise en garde

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Pensant avoir été empoisonnée par ses implants mammaires, Vanessa Paula œuvre désormais à partager son expérience auprès d’autres femmes, les exhortant de réfléchir longuement avant de subir une opération qui pourrait bouleverser leur vie.

C’est une véritable bataille dans laquelle s’est lancée Vanessa Paula. Après son opération de la poitrine en 2006, la thérapeute holistique a commencé à subir des désagréments auxquels elle ne s’attendait pas…

Aujourd’hui, elle lutte activement auprès des femmes, partageant son histoires, les troubles qu’elle éprouve quotidiennement et espère leur éviter des expériences similaires.

Se réconcilier avec sa poitrine

C’est en 2006 que Vanessa décide de se faire opérer pour une augmentation mammaire. La raison de cette décision ? Le changement d’aspect de ses seins, « flasques », après avoir allaité son fils. Après avoir dépensé plus de 1700 € pour concrétiser son désir, la trentenaire était ravie du résultat… jusqu’à ce que commencent les premiers désagréments. En 2015, elle commence à souffrir de douleurs et de « pincements » dans la poitrine au point de ne plus arriver à dormir. Elle interroge alors son médecin « Après plusieurs tests, il m’a dit que je devais faire retirer mon silicone en urgence » expliquait-elle dans les colonnes du Mirror.

Apprendre à s’aimer à nouveau

« Mon corps me combattait et créait une maladie auto-immune, expulsant le silicone ce qui pouvait avoir des conséquences dangereuses » racontait-elle. « A l’époque, je vivais en Angola où la maladie des implants mammaires n’était pas très connue » indiquait-elle ajoutant « Le processus de retrait a été assez choquant ». Pour cette nouvelle opération, Vanessa doit dépenser près de 4800 €. Deux mois lui sont nécessaires pour se remettre de cette chirurgie dont elle conserve de larges cicatrices sur les seins. « Il m’a fallu des mois pour surmonter le choc. Mais j’ai réalisé que j’avais besoin de m’aimer comme j’étais pour pouvoir passer à autre chose » affirmait-elle. « A cause de cela, j’ai dû apprendre à m’aimer de l’intérieur et de l’extérieur d’une nouvelle manière. C’était un processus difficile et compliqué. Parfois je voulais à peine me regarder dans le miroir et je détestais mes cicatrices ». Aujourd’hui, elle montre fièrement ces dernières et sort d’un long processus de guérison « J’ai fait une séance photos pour montrer mes cicatrices et inspirer d’autres femmes qui traversent cela » indiquait-elle, concluant « Nous sommes bien plus que nos seins et leur apparence. Nous devons nous le rappeler ».

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